Conjonctures  no 16

Printemps 1992

 

A propos de la question national, le Collectif

 

Une frontière dites-vous ?, Nicole Fortin

 

Je vote Oui parce que je ne peux pas voter non,  Robert Laliberté

 

La passion de l'indifférence, J. Yvon Thériault

 

La peur de l'un et l'arrogance de l'autre, Gilles Houle

 

Le fantôme de la distance, Marie-Blanche Tahon

 

Le Verbe-Être, Yves Préfontaine

 

Cher amour, cher philosophe,  Maryse Decan

 

Le nationalisme québécois dans une perspective internationale, Osvaldo Croci

 

De l'union à la communauté, David Mandel

 

Le nationalisme par l'opposition, Roger Levy

 

La dynamique du sépartisme slovène, Carole Rogel

 

Nationalisme et périphérie en France, Hudson Meadwell

 

Croisades nationales, Dedalus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La question nationale est d'emblée une mauvaise question, une question mal posée. Il n'y a à priori aucune raison de privilégier un pallier d'identité collective plutôt qu'un autre (la nation plutôt que l'humanité, la région plutôt que le village, la ville de préférence au quartier). Aucune raison non plus. du même point de vue "élevé" ou "éclairé", de valoriser des identités...